TEMOIGNAGES

CETTE PAGE EST DESTINÉE A RECUEILLIR VOS TÉMOIGNAGES, LES PROBLÈMES QUE VOUS AVEZ RENCONTRE, OU QUE VOUS RENCONTREZ ENCORE,  JE COMMENCERAI PAR MON PROPRE TÉMOIGNAGE, UNE SITUATION QUI PERSISTE ENCORE, MAIS JE ME BAT, ET JE COMPTE FAIRE VALOIR MES DROITS.

delire chronique N°2 (posté le 06/11/2009 à 11:57)

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délires chroniques (posté le 06/11/2009 à 10:05)

TÉMOIGNAGE N° 2

JE VOUS ADRESSE UN NOUVEAU TÉMOIGNAGE FAISANT SUITE AU PRÉCÈDENT,

CONTRAIREMENT A CE QUI EST MENTIONNE DANS LA "CHARTE DE LA PERSONNE HOSPITALISÉE", AU DERNIER PARAGRAPHE DONT JE ME PERMETS DE VOUS ÉNONCER DANS SON INTÉGRALITÉ, ET MOT POUR MOT, LES DROITS DES PATIENTS OU PLUS PARTICULIÈREMENT DE LA PERSONNE HOSPITALISÉE, NE SONT VRAIMENT PAS RESPECTES PAR LES SERVICES DE LA CLINIQUE PRIVÉE SITUÉE A LIMOUX DANS L'AUDE NOMMÉE : ASM.

"LA PERSONNE HOSPITALISÉE PEUT EXPRIMER DES OBSERVATIONS SUR LES SOINS ET SUR L'ACCUEIL QU'ELLE A REÇU.DANS CHAQUE ÉTABLISSEMENT, UNE COMMISSION DES RELATIONS AVEC LES USAGERS (NOUS), ET DE LA QUALITÉ DE LA PRISE EN CHARGE VEILLE,NOTAMMENT, AU RESPECT DES DROITS DES USAGERS. TOUTE PERSONNE DISPOSE DU DROIT D'ÊTRE ENTENDUE PAR UN RESPONSABLE DE L'ÉTABLISSEMENT POUR EXPRIMER SES GRIEFS, ET DE DEMANDER RÉPARATION DES PRÉJUDICES QU'ELLE ESTIMERAIT AVOIR SUBIS, DANS LE CADRE D'UNE PROCÉDURE DE RÈGLEMENT AMIABLE DES LITIGES, ET OU DEVANT LES TRIBUNAUX".

EN CE QUI ME CONCERNE, J'AI TOUT TENTE :  A SAVOIR UN CONTACT AVEC LA DIRECTION DE L'ÉTABLISSEMENT EN QUESTION,  ET SURTOUT DES SOLLICITATIONS AU PRÈS DU JUGE DU TRIBUNAL D'INSTANCE DE MA VILLE LIMOUX, (AUDE), QUI NE RÉPONDS PAS A MES DEMANDES POURTANT JUSTIFIÉES, COMME JE VOUS  EN AI PARLE PRÉCÉDEMMENT, CELA EST DU "DÉNI DE JUSTICE".

LES CONCLUSIONS EMISENT PAR CERTAINS PSYCHIATRES DE CETTE INSTINTUTION, ME CONCERNANT SONT LES SUIVANTES :

- AGITATION

- DÉLIRE CHRONIQUE

- PARANOÏA

HORS, IL S'AVÈRE, QUE L'UN DES MÉDICAMENTS PRESCRITS A L'ÉPOQUE ÉTAIT DE : "ALPRAZOLAM" DONT LES EFFETS SECONDAIRES SONT LES SUIVANTS :

- AGGRAVATION DE L'INSOMNIE, CAUCHEMARS

- NERVOSITÉ

-IRRITABILITE

- AGITATION

- AGRESSIVITÉ

- ACCÈS DE COLÈRE

- IDEES DELIRANTES

JE ME DEMANDE DONC ET JE PENSE A JUSTE TITRE,  POURQUOI ON PRESCRIT DES "DROGUES"AVEC AUTANT D'EFFETS SECONDAIRES, QUI SONT POURTANT DESTINÉES A ATTÉNUER LE PLUS POSSIBLE, JUSTEMENT : DE L'AGITATION, DU DÉLIRE CHRONIQUE,  ALORS QUE LA LISTE DES EFFETS SECONDAIRES, EST DE PROVOQUER CES PATHOLOGIES.

JE PRÉCISE QUE CE TRAITEMENT M'AVAIT ETE PRESCRIT LORS D'UNE HOSPITALISATION LIBRE, C'EST A DIRE A MA PROPRE INITIATIVE, EN FÉVRIER 2008,  J'AI AVEC L'ACCORD DE MON NOUVEAU GÉNÉRALISTE, ARRÊTE CE TRAITEMENT EN NOVEMBRE 2008.

J'AI COMME TOUT LE MONDE, UNE VIE SOCIALE, JE VAIS AU CAFÉ, DANS UN CYBER, A LA POSTE, JE DISCUTE, JE REÇOIS DU MONDE A MON DOMICILE, (PERSONNES QUE JE CHOISIE MOI-MÊME CONFORMÉMENT A MES DROITS, )  ET JE PENSE, QUE TOUTES LES PERSONNES QUE JE CROISE TOUS LES JOURS, DEVAIENT ÊTRE AMENÉE A TÉMOIGNER SI JE PORTAIS PLAINTE EN ME CONSTITUANT PARTIE CIVILE, QUE JE SUIS TRÈS LOIN, D'ÊTRE AGITE, D'UNE PART, ET QUE D'AUTRE PART, LE CHOIX DE MON ACTIVITÉ PROFESSIONNELLE EST LOIN D'ÊTRE UN CAS DE DÉLIRE CHRONIQUE.

MÉNAGER THIERRY

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TEMOIGNAGE N°1 (posté le 27/10/2009 à 13:23)

Pour commencer les témoignages de ce site, je me permets de vous soumettre le mien.

Depuis plusieurs années, je cherche a créer ma propre activité professionnelle conformément a mon choix, et légalement, je suis moi-même légerement handicape. En février 2008 j'ai demandé un hospitalisation dite libre, car a cette période, je rencontrai quelques difficulées, dans la réalisation de mes choix professionnels, j'ai donc de moi-même demandé une hospitalisation, dans un secteur spéciialisé, avant cette hospitalisation, je suivais un petit traitement, correspondant à mon handicap, un traitement léger. Mais lors de mon séjour à l'hôpital, ce traitement a été complètement bouleversé, de 6 comprimes maximum par jour, je me retrouvais avec une quinzaine de comprimés jour, et deux injections par mois. Ce traitement que j'étais en droit de refuser, a été suivi avec assuidité, durant presque un an c'est à dire du mois de février au mois de novembre 2008, ce traitementà provoqué d'importants effets secondaires, en particulier des malaises nombreux, des problèmes de tension, et du rythme cardiaque, il va de soit que je m'en suis plains aux médecins qui me suivaient, mon généraliste, et le spécialiste en question, mes remarques n'ont pas été prises en compte.

En novembre 2008, après des recherches sur internet, j'ai découvert des textes de lois divers, je me suis rendu compte qu'il y avait eu des abus, et que je pouvais à la fois, changer de médecin, en particulier de généraliste ou "médecin dit "référant", toutefois, je me suis rendu aux services de la CPAM : (Caisse Primaire d'assurance Maladie), qui m'a a confirmé le droit de changer de médecin, bien sur, j'ai fait part de ma décision a mon ancien praticien, qui a accepté sans problème ma décision, et bien sur m'a remis en main propre, mon dossier médicale, dont j'ai conformément à la loi, et donc à mes droits, pris connaissance, et je l'ai remis ensuite au médecin que j'avais choisi pour le remplacer.

Du coté du spécialiste, par contre, cela n'a toujours pas été le cas, dans un premier temps, j'ai reclammé, une expertise méicale juridique, par un expert psychiatre assermenté au près des Tribunaux, et ai sollicité pour cela les services d'un avocat, au près du bureau d'aide juridique en raison de mes faibles revenus, cette expertise devait se faire  en "référé" ce qui veut dire en urgence dans un délais maximum de : 48 heures, mais du jour au lendemain, l'avocat s'est desité, sans m'en avertir, ne recevant plus de nouvelle de lui, je me suis adressé à l'ordre des avocats, et de plus, en tentant de joindre l'avocat en question, toujours sans réponses.

Plusieurs mois après, j'ai une nouvelle fois contacté les services du bureau d'aide juridictionnelle, qui m'a désigné un nouvel avocat, pour les mêmes raisons, en rappelant toujours, la mise en oeuvre d'une expertise juridique, par un expert au près des Tribunaux,  toujours dans un délais de : 48 heures.  Mais étrangement, ce nouvel avocat s'est lui aussi desisté.

Je n'ai en outre, jamais caché le type d'activité professionnelle que je désirai et désire toujours exercer, conformément à l'ensemble de mes droits, et en respect des textes juridiques, existants, pour certains, ce choix ne relèverai que  d'un délire, la définition du délire, est la suivante : " TROUBLE PSYCHIQUE, CARACTÉRISÉ PAR : DES IDÉES SANS RAPPORT  MANIFESTE AVEC LA RÉALITÉ, OU LE BON SENS".

Pourtant, ce sois-disant délire, est lié à la volonté de créer et de gérer des sites internet,  pour adultes, comme il en existent pourtant beaucoup, en France et dans le monde, POURTANT ! LES SITES INTERNET DE TOUTES NATURES, SONT BIEN RÉELS, DE NOMBREUSES PERSONNES EXERCENT CETTE  ACTIVITÉ, LÉGALE, IL FAUT DONC LOGIQUEMENT PENSER ET DIRE QUE TOUTES LES PERSONNES CRÉANT, GÉRANT DES SITES INTERNET OU DES BLOGS, SONT EN PLEIN DÉLIRE, DE CE FAIT,  ELLES DEVRAIENT ÊTRE "BOURRES DE NEUROLEPTIQUES OU PSYCHOTROPES, QUI EN CE QUI ME CONCERNE, PORTENT GRAVEMENT ATTEINTE A MA SANTÉ".

JE PENSE QUE L'EXPERTISE DONT JE PARLE PLUS HAUT DANS CE TEMOIGNAGE, DERANGE CERTAINES PERSSONNES, "DITES BIEN PENSANTES".

Pourtant, NOUS SOMMES EN FRANCE, DANS UN PAYS QUI PRÉTEND DÉFENDRE LES DROITS DE L'HOMME, ET SES LIBERTÉS, LA FRANCE,  QUI SE PERMET DE CRITIQUER, OU DE DONNER DES LEÇONS A CERTAINS PAYS, COMME LA CORRE DU NORD, LA CHINE, OU ENCORE L'IRAN, ET BIEN D'AUTRES PAYS ENCORE. J'AVOUS QUE CES TEMPS CI, J'AI PARFOIS HONTE DE VIVRE EN FRANCE, J'AI 50 ANS ET J'AI CONNU PAR LA RADIO, LES INFOS, LA TÉLÉVISION DE L'ÉPOQUE, CE QUI SE PASSAIT DANS LES PAYS TEL QUE L'UNION SOVIÉTIQUE, OU LES ANCIENS PAYS DE L'EST, OU ON N'HÉSITAIT PAS D'INTERNER CERTAINS OPPOSANTS.

POURTANT JE SUIS FRANÇAIS NE EN FRANCE FILS DE MILITAIRE DE CARRIÈRE QUI A SERVI DURANT 13 ANS L'ARMÉE FRANÇAISE, ET A FAIT L'INDOCHINE, DISPARU EN MER EN 1976.

JE NE ME LAISSE PAS FAIRE, ET AGIT EN RESPECTANT LA LÉGISLATION,  MAIS JE RENCONTRE TOUJOURS DES OBSTACLES. SI VOUS VOUS TROUVEZ DANS UNE SITUATION QUI RESSEMBLE A CELLE CI, N'HÉSITEZ PAS A TÉMOIGNER SUR CE SITE, IL FAUT PARFOIS ÊTRE PLUSIEURS POUR POUVOIR FAIRE VALOIR NOS DROITS.

BIEN VENUE A TOUTES ET TOUS. EXPRIMEZ VOUS.

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